Thursday, January 8, 2009

The Cyclist (1987)


In January 1998, Le Nouvel Observateur asked former National Security Advisor Zbigniew Brzezinski whether he regretted funding Afghan rebels--future Taliban--priming the Soviets for a disastrous invasion.

His answer: Regretter quoi? Cette opération secrète était une excellente idée. Elle a eu pour effet d'attirer les Russes dans le piège afghan et vous voulez que je le regrette ? Le jour où les Soviétiques ont officiellement franchi la frontière, j'ai écrit au président Carter, en substance : “Nous avons maintenant l'occasion de donner à l'URSS sa guerre du Vietnam.” De fait, Moscou a dû mener pendant presque dix ans une guerre insupportable pour le régime, un conflit qui a entraîné la démoralisation et finalement l'éclatement de l'empire soviétique.

Asked about this response in Our Own Private Bin Laden Brzezinski affirms, "Compared to the Soviet Union and to its collapse, the Taliban were unimportant."

Must toothpicks pin open eyes, buckets of water dowse hand slapped cheeks for us to see Afghans as toys in circular colonial death games?

We are weary. Comfort us with laughter at Carell's 40-year-old bicyclist. Confirm our normalcy in the toxic shadowed mist of motordom's profligacy.

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